Un orchestre symphonique de 45 musiciens jouant Gainsbourg et accompagnant de ses accords la douce voix de Jane Birkin. Quel plus bel hommage au grand Serge, lui qui adorait la musique classique et s’en inspirait pour composer des chansons emblématiques du paysage musical français ? L’idée est plaisante et a tout naturellement pris racine dans la réalité, donnant naissance à des airs jazz, pleins de fantaisie et de charme.
Iggy Pop n’en est pas à ses premiers pas dans la plaine de Kerampuilh puisqu’il y a déjà enflammé les scènes en 1998, 2002 et 2005 avec les Stooges. En 2019, l’iguane revient au festival des Vieilles Charrues pour une date unique en France. Reconnu comme l’un des artistes les plus dynamiques sur scène de tous les temps, un show du parrain du punk est l’un de ces événements qu’il faut avoir vécu une fois dans sa vie !
D’un club de découverte à une masterclass de théâtre
Face à face, onze ouvrières vont se retrouver confrontées à un conseil d’administration de huit cadres dirigeants. Et ce ne sont pas les prestations musicales « live » des cinq musiciens du groupe qui vont adoucir les mœurs des belligérants dudit conflit.
Vous avez dit cadences infernales ?
Depuis 2015 qu’est né ce club théâtre, qui réunit à présent des adolescents, chacune des créations montées ces cinq dernières années a franchi allègrement les murs du lycée. Et la dernière est facilement « exportable » dans la mesure où il suffit d’installer huit chaises et d’une prise de courant pour que la scène soit prête. Elle a conduit le club niortais jusqu’au festival d’Avignon l’an passé.
Le chemin parcouru est si important que le club a perdu sa vocation première d’atelier découverte en ne formant plus des néophytes au profit d’une formation beaucoup plus poussée. Ilse mue à présent en tremplin pour les écoles de théâtre et conservatoires. Pour ne pas se cacher les yeux sur cette mutation, l’entrée au club s’effectuera l’an prochain sur audition, l’idée d’une masterclass fait son chemin et le club changera carrément de nom.
Autant dire que c’est du théâtre abouti, autour d’une pièce de Stéphano Massini qui donne à réfléchir sur les grandes questions sociales d’aujourd’hui, sur le repli sur soi ou la peur du lendemain, qui est proposé la semaine prochaine à Jean-Macé.
« Das Boot », la saison 2 de la série allemande en tournage à Arçais, en Deux-Sèvres.
Poteau indicateur au carrefour : nous sommes à cinq kilomètres d’Hauzé et à 72 de Ménont. Distances et noms de lieux imaginaires. Tout aussi imaginaire, cet homme en manteau noir qui harangue les villageois juché sur la plateforme d’un camion de la Wehrmacht, devant l’église d’Arçais. Pendant ce temps, un officier allemand pianote à l’écart… sur son téléphone portable.
Hier a démarré au cœur du village maraîchin le tournage de la série allemande « Das Boot », saison 2. Deux cents à 250 personnes dont une cinquantaine de figurants. La veille, l’équipe était au fort de La Prée, sur l’île de Ré. Elle sera à Arçais jusqu’à vendredi avant d’aller planter ses caméras à La Rochelle. « Das Boot »reconstitue l’univers des sous-mariniers allemands sous l’Occupation.
Deux jeunes figurantes sur le tournage de Das Boot. @Eric PolletDeux jeunes figurants sur le tournage de Das Boot. @Eric PolletDeux figurants sur le tournage de Das Boot. @Eric PolletDes figurants en Wafen SS sur le tournage Das Boot. @Eric PolletUn figurant en Wafen SS sur le tournage Das Boot. @Eric PolletDes figurants en costume de policiers français sur le tournage Das Boot. @Eric PolletDes figurants en costume de policiers français sur le tournage Das Boot. @Eric PolletDes figurants en costume attendent de jouer leur scène sur le tournage Das Boot. @Eric PolletDrôle de monture dans le bourg d’Arçais sur le tournage Das Boot. @Eric PolletDernier coup d’aiguille pour la costumière sur le tournage Das Boot. @Eric PolletUn figurant en costume de policier français sur le tournage Das Boot. @Eric Pollet
Tous les ans, le Hellfest surprend son monde en catapultant sur son affiche un groupe inattendu. Et il paraît aventureux d’affirmer que la présence d’HOLLYWOOD VAMPIRES à l’occasion de ce millésime 2018 du Festival de l’Enfer a marqué les esprits et noirci les murs des réseaux sociaux (coucou les haters et les true !).Et nul doute que ces superstars ne manqueront pas l’occasion de marquer de leurs incisives acérées l’édition de 2018.
Charisme à tous les étages, dextérité à tout-rompre, présence scénique ébouriffante, tubes en-tu-en-voilà : les planètes sont alignées et un moment unique s’annonce. Et puis Alic Cooper, Joe Perry et Johnny Depp sur la Mainstage, ça représente quand même des étoiles au mètre carré, non ? ( Texte du site du Hellfest )
Les photos d’Eddy de Pretto au Festival des Vieilles Charrues 2018.
Eddy de Pretto. Avec un premier EP ambitieux, Kid, Eddy de Pretto fait grand bruit. Parmi ses influences, rien de moins que Franck Océan, KanyeWest et ClaudeNougaro. Parmi ses collaborateurs, les producteurs de Booba et GucciMane. Celui qui mêle avec talent la chanson française et le rap ne se laisse poser aucune étiquette. Sincère, direct et brut, son verbe âpre et éloquent convoque la nuit, la fête et la drogue, sans artifice.
Iron Maiden. Son premier passage dans l’antre du Hellfest en 2014 à l’occasion Maiden England Tour est encore ancré dans les mémoires des festivaliers et c’est avec un immense plaisir que le festival accueille de nouveau la « Vierge de Fer » cette année.
Après la tournée mondiale très réussie de 2016-2017 en support de leur 16ème album studio The Book Of Souls, Iron Maiden reprend la route en 2018 avec une série de concerts en salle et lors de festival en Europe. Le concept de cette tournée est inspiré du jeu pour mobile Legacy Of the Beast et de la bande dessinée du même nom.
Le design de la scène représentera un certains nombre de « mondes » tandis que la setlist couvrira une larges élection de titres des années 80 avec des surprises issues des derniers albums pour varier un peu. ( Texte du site du Hellfest )
Silencis, un somptueux moment de silence seulement troublé par les murmures et les sourires du public et les spectateurs complices. Une histoire sans parole digne des plus grands scènes du cinéma muet, mais en couleurs et en mouvements aériens. Une bulle de douceur dans un contexte pourtant belliciste.
Texte du site des Accroche-cœurs : Cie Claire Ducreux – Un arbre murmure : « Arrête-toi parce qu’il est urgent de vivre. Prends le temps de redécouvrir ce qu’à force de connaître tu ne connais plus, d’écouter le silence et les pensées se mêler, de voir danser l’immobile, de se sentir à nouveau infiniment vivant.
Une explosion. Une pluie de cendres. L’hommage à la vie d’un arbre qui tremble et d’une âme qui danse.
Arch Enemy. Le temps passe, les temps changent mais il demeure des choses qui restent constantes et imparables. La musique metal a subi moult assauts depuis ses quatre décennies d’existence et peu de groupes incarnent avec aplomb et sans contestation possible l’intensité, l’intégrité et l’ambition que requiert sa création et son interprétation. Fondé en Suède au milieu des années 90 par le six-cordiste Michael Amott, ARCH ENEMY en est un de ses joyaux. Explosif, efficace, irrésistible et perpétuellement tiré vers le haut par sa soif d’en découdre et de combler ses fans, rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa progression. Et on ne trouvera pas grand-monde pour s’en plaindre lors de ce Hellfest. ( Texte du site du Hellfest )
Ladies and gentlemen, coupains et coupines, veuillez accueillir chaleureusement Bunkum, le Madball des Deux-Sèvres, le kingdu bocage, le tough guy du Sept-Neuf, le cador de l’axe Cerizay-Bressuire, le patron du Cirières Hardcore. Bunkum, potes de toujours élevés au son de la musique punk et de boisson à base d’orge, les bestiaux ne font pas dans la dentelle avec un hardcore foncièrement old school qui butte sa maman et distribue les claques sur les joufflus comme d’autres alignent les tournées de Suze entre midi et deux (voir plus si affinités). Allez, on met le cerveau de côté pendant quelques instants, et on vient passer un bon moment assuré. ( Texte du site du Hellfest )
« On est Bunkum et on est de Cirières. Même pas peur ! »